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Bon, voici la version n°1 du morceau "At the end", de Impluvium.
Derrière le projet Impluvium, on retrouve mon ami Fight".
Le clip a été réalisé par mes grosses petites pattes ;) .
Je vous propose cette première version, j'ai hésité à la mettre, vous me direz celle que vous préférez!
Un petit clin d'oreille à monsieur Fight, qui vu l'heure, doit être un papa aux anges...
Ce soir j'ai envie d'étre Sigur Ros.
Allez un p'tit "Viorar Vel Til Loftarasa".
Leur clip sont toujours un régal pour les yeux, mélange de sourde dureté, de mélancolie filtrée et de réverie enfantine teintée d'angoisses d'adulte.
Tout un poéme.
Voici deux extraits d'un groupe de post rock français, d'Orléans ( c'est pas loin de chez moi, ça !), les Poney Club.
Un ami à moi les a vu en concert, il parait que c'est énorme!
Un mélange de projection vidéo, de chorégraphie et il y a même une poétesse!
C'est complétement dingue et splendide à la fois.
Deux copines doivent s'occuper de faire un "clip-live" pour leur DVD, tant leur musique est visuelle!
Formé en 2002 à Caen, GUNS OF BRIXTON, est une formation qui emprunte son nom, à une célébre chanson des CLASH, parue en 1979 sur l'album "London Calling".
Celle ci relatait les émeutes raciales qui avaient lieu dans les rues de Brixton.
Le groupe GUNS OF BRIXTON à garder des Clash, cette conscience sociale et politique ("911", "Operation Bretzel", "Devant Leurs Yeux" et le métissage sonore.
La musique des GUNS OF BRIXTON est comparable dans l'esprit à IDEM ou même à PICORE, que l'on pourrait épingler sour l'étiquette de "post-dub-noise"...
Perso, je trouve que "In.Dub.Out" est un album qui imprégné de puissance post rock et de sonorité noïse, souligné par des touches de dub.
La coloration dub n'est pas ici une dominante, mais plutôt un accompagnateur, un acteur secret.
Il vient apporter sa particularité à l'ensemble et permettre de créer se son massif et à la fois aérien.
Les guitares sont rock et ne font pas de la figuration, la basse et la batterie assure une rythmique appuyée tel un train en marche, les machines et les claviers développe une toile hypnotique préte à nous happer.
L'atmosphère est souvent lourde, les guitares saturées et aériennes viennent déchirer l'air ambiant ("8 Minutes En Corse", "Septentrional").
Des samples vocaux créaient une faille entre réalité ("Operation bretzel" et le discours du lancement de la première guerre du golfe, "Devant leurs yeux" et son témoignage de la barbarie nazie) et fiction ("Septentrional" et son sample qui évoque la b.o du film "Le trèsor des îles Chiennes"), un peu à la manière de RIEN.
Les morceaux nous collent à la peau, et se prolongent après écoute.
Un hypnotisme sauvage...
Des morceaux plus dub au niveau de la rythmique et de l'utilisation de cuivres ("Sachem In Russia") nous renvoies plus du côté de ZENZILE ("Sachem in Russia" et "Rocket To Salem" ne sont t'ils pas d'habiles clins d'oeil aux titres de ce groupe?).
Un disque qui est donc à conseiller aux amateurs de fusion dub mais aussi à ceux qui apprécient des univers plus post rock ou noise. "In.Dub.Out", un album qui nous plonge dans et en dehors du dub.
Une excellente promesse...
La musique d' APSE possède un je-ne-sais-quoi de magique...
Celle-ci parle avant tout à l'esprit, plus qu'au corps.
Nous avons à faire à une expérience auditive shamanique...
Un voyage des sens, nous est proposé içi.
Les rythmes sont lents comme des respirations, l'air lourd, les paysages brumeux.
Les morceaux convoquent avec allégresse slowcore, post rock et rock atmosphérique.
Ici, la basse a une place de choix, tout comme la batterie (ce qui nous fait évoquer le travail de LIARS avec leur album "Drum's not dead").
Les morceaux empruntent au Post-rock, le côté étiré en longueur et les lente progressions et explosions.
Une ambiance à la fois lourde et légére...
Par moment un rayon de soleil vient déchirer ce voile brumeux.
A des plages plutôt rythmées, viennent se mêler des morceaux plus ambient, plus planant.
Notre esprit est soulevé, arraché à notre enveloppe corporel.
On flotte au dessus de ce monde.
On est propulser aux pays des morts, connecté directement aux monde des esprits.
Une voix fantômatique, presque lointaine vient accentuer le côté shamanique de la musique et intensifie l'impression de s'être égaré aux pays des morts ("From The North" et ses "lalala" hallucinés à la Patton). "Spirit"...Le nom de cet album n'est pas anodin. APSE, nous invite à danser avec les morts, dans une "Waltz post mortem" avec nos ombres ("Legions").
La musique d'Apse demande de l'exigence en ce sens, que l'on peut rester en surface et croire, en voyant la pochette cartonnée , que nous allons sombrer dans une obscurité sans limite...
Pourtant après avoir soulevé ce voile et enlevé cette pochette, nous tombons sur la véritable identité de cette album.
Un paysage hivernal dévoré par la brume, vient nous faire face. "Spirit" n'est donc pas un album obscur. Il s'agit plutôt d'une musique mystérieuse qui demande quelque part de lacher prise afin de se laisser happer par cette voix qui nous guide dans la brume.
Et dans le monde des esprits...