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"Abstract Symposium", le nouvel album de notre beatmaker préféré, DEGIHEUGI, vient de sortir aujoud'hui!! Vous pouvez dés à présent acheter l'album sur son site officiel pour la modique somme de 12€ (frais de port inclus). Après l'excellent "The Broken Symphony", ce quatrième album s'annonce comme une belle pépite!! Depuis que je l'ai découvert avec "Only After the Show", DEGIHEUGI ne m'a jamais déçu; bien au contraire il me surprend à chaque fois, qu'il sort une de ses productions. J'ai suivi l'évolution de son travail et je suis très impréssionné par la maitrise qu'il a atteint dès son troisième album qui se présentait comme un travail très pro, qui n'avait pas à palir devant de grandes productions d'abstract hip hop. Et à chaque fois, DEGIHEUGI nous a proposer ses albums en téléchargement gratuit... Classe...
Cette fois ci, son dernier opus, "Abstract Symposium" donc, est en vente sur son site officiel. Il n'a que 200 copies, je vous conseille de vous presser comme un agrume, car cela va partir comme des petits pains au chocolat, vu qu'il existe maintenant un grand nombre de fans de DEGIHEUGI (vous pouvez voir cela sur son facebook).
Si comme moi, vous avez succomber à ses précédents albums, payez 12€ pour avoir la chance d'entendre le dernier né du bonhomme, ne peut être qu'une évidence!
Trailer du nouvel album de DEGIHEUGI, "Abstract Symposium":
Bon, je n'ai jamais été un fan des explications de texte à couper une poire en quatre. Donc voici quelques mots: "Appart nouveau - Installation réussie - Stop Connexion internet rétablie - Stop Retour fumant - Point Final".
Voila, ça c'est fait! Parlons musique à présent!
Il y a quelques jours, je suis tombé sur DJ BOOTSIE, encore inconnu de mes chères oreilles. C'est en faisant un tour du côté d'Adikt Blog, que j'ai fait la connaissance du monsieur et surtout de son titre "Horseriders Toward The Abyss". En lisant simplement son nom, je me suis dit: "mouais, encore une petit gars qui aime mélanger les morceaux pour n'en faire qu'un..."!
Et bien non! Le monsieur en question, DJ BOOTSIE donc, hongrois d'origine, nous renvoie à la bonne période de l'abstract hip hop, celle des Dj Shadow, Dj Cam, RJD2 et autres... Un son surement pas révolutionaire mais fort agréable à entendre! "Horseriders Toward The Abyss" devient vite addictif avec son violon et ses choeurs d'enfants lointains... Le reste de l'album ("The Silent Partner") est peut - être un poil trop monotone mais ne demande qu'à gagner en profondeur et à murir, tel un fruit d'été.
Ce qui sera peut être le cas, dans son prochain album, intitulé "Holidays In The Shade", qui sortira le 14 décembre prochain.
Voici un album que j'ai découvert par l'intermédiaire du site TRIP HOP.NET.
J'ai d'abord été attiré par la pochette, à la fois poétique et énigmatique ( elle a été réalisé par CLOTHIDE DUPONT).
Plus j'ai plongé dans la musique. Oui le terme est juste. Plongé... Littéralement. Ou peut être est-ce la musique qui m'a recouvert? Toujours est-il que j'ai succombé aux charmes de HKU (prononcé HAÏKU) et de son magnifique album "Soukha".
Un disque, qui en 7 morceaux, mêle downtempo, trip hop, abstract hip hop, saupoudré de couleurs jazz et classique.
Un album qui à l'image de sa pochette, nous plonge dans un univers mystérieux.
Une oeuvre cinématographique, où chaque morceau nous apparaît comme une sorte de court métrage (chaque titre possède son histoire, ses mots, inscrit dans le livret accompagnant l'album). HKU s'insinue dans notre tête pour projeter des images sur notre cerveau. Il est en quelque sorte le projectionniste de notre inconscient...
Cette musique se déroule davant nos yeux et nos oreilles, à la manière d'un film. Les éléments apparaissent au fur et à mesure.
Le synopsis de chaque titre est planté, mais chacun peut percevoir cette musique d'une différente façon...
HKU nous projette les images et nous les ordonnons dans notre tête pour en faire une histoire.
Des images en noir et blanc, avec un magnifique grain pour ma part. "L'histoire d'un homme" me dessine les images d'un homme qui regarde au travers la vitre d'un taxi new-yorkais, les bâtiments qui défilent sous son nez. Contre plongé, pluie, gros plan...
"Intense" nous accueille et fais débuter le film avec sa splendide contrebasse chaude et ses violons cristallins. Très vite la voix de BREL et sa célébre phrase "Ce qui compte dans une vie, ce n'est pas la durée d'une vie, c'est l'intensité d'une vie", les rejoint... Nous avons plongés... "J'aurais voulu" nous berce ensuite par son mélancolique downtempo et son texte magnifique.
C'est au tour du fantôme de SERGE GAINSBOURG d'apparaître sur le beat urbain de "L'histoire d'un homme" avec son changement de rythme en plein milieu du morceau, qui nous laisse croire qu'il s'agit en fait de deux morceaux...
Viens ensuite trois pièces musicales à l'orchestration délicates et riches ("Write the story", "La fourmi" et "En quete de sens: Soukha") qui ne sont pas sans rappeler AMON TOBIN ou CINEMATIC ORCHESTRA. "Esperando la proxima vez" clôt ce disque avec un superbe morceau imprégné d'un piano et d'une contrebasse mélancoliques.
Si vous plongez dans cet univers, "Soukha" vous rendra facilement "addictif"...
Le cd n'arrête pas de tourner depuis que je l'ai.
Cela à peu de choses et à beaucoup à la fois.
Une contrebasse chaleureuse, de magnifiques cordes, des beats urbains par moments, des voix habités, une orchestration lumineuse...
Un album à faire tourner et qui peut très bien être rangé dans sa discothéque personnelle, aux côtés de CINEMATIC ORCHESTRA, de "Dial M For Monkey" de BONOBO ou de "Supermodified" d' AMON TOBIN...