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Amoureux des beats amples et ralentis, de cordes classieuses et surtout d'une musique cinématographique, alors cet album est pour vous!
"The One Man Band Instrumentals" est un album de DJ SCIENTIST. Il s'agit de la version instrumentale de "The One Man Band Broke Up" de CESCHI & DJ SCIENTIST a la prod.
"The One Man Band Instrumentals" est en telechargement gratuit sur le bandcamp de DJ SCIENTIST:
Voici un album que j'ai découvert par l'intermédiaire du site TRIP HOP.NET.
J'ai d'abord été attiré par la pochette, à la fois poétique et énigmatique ( elle a été réalisé par CLOTHIDE DUPONT).
Plus j'ai plongé dans la musique. Oui le terme est juste. Plongé... Littéralement. Ou peut être est-ce la musique qui m'a recouvert? Toujours est-il que j'ai succombé aux charmes de HKU (prononcé HAÏKU) et de son magnifique album "Soukha".
Un disque, qui en 7 morceaux, mêle downtempo, trip hop, abstract hip hop, saupoudré de couleurs jazz et classique.
Un album qui à l'image de sa pochette, nous plonge dans un univers mystérieux.
DAJLA est la traduction arabe du Tigre, la rivière qui coule, avec l'Euphrate à travers les vallées, montagnes et déserts de Turquie et d' Iraq - jadis Mésopotamie- pour se jeter dans la mer, le Golfe Persique. DAJLA, içi accompagnée de Benjamin Bouton, sort son premier album, "Soul Poetry".
Voici un album classieux de soul.
Mais pas dans le genre d' AMY WINEHOUSE.
En fait, il s'agit plus de Nu-Soul.
On pense plus au spoken word de Ursula Rucker, à la soul urbaine de India.Arie et d' Erykah Badu, par moment au r'n'b éthéré de Nile. "Soul Poetry", est un disque qui mêle habilement soul, downtempo, électro et jazz.
Une voix sensuelle et feutrée s'aventure sur une orchestration taillée pour la mettre en valeur.
Des compositions simples et efficaces qui habillent avec délicatesse les mots.
Une production impeccable qui n'a pas à rougir devant les productions américaines.
On est même impressionné en découvrant que ce groupe est français...
Tout en s'appuyant sur des influences du passé, DAJLA s'amuse avec les frontières et regarde droit devant, vers l'avenir.
Un album de 14 titres, chauds et cotonneux, près à réchauffer vos longs soirs d'hiver...
DEGIHEUGI a sorti récemment son deuxième album "Only after the show" qui est librement téléchargeable sur son site. Après avoir chroniqué cet album, DEGIHEUGI ouvre le bal de la nouvelle rubrique qui s'intitule: "INTERVIEWS;. Comme son nom l'indique, des questions posées à des artistes pas encore forcément connus, mais qui se font une petit place sur le net. Pour en savoir plus sur les "inventeurs de sons", " les créateurs d'univers sonore"; sur leur goûts et leur personnalité... Place à DEGIHEUGI qui a eu la gentillesse de répondre à mes questions! Et merci au site FREEZEEC pour m'avoir donné envie de me lancer dans cette aventure nouvelle!
Voici un album que j'ai découvert par l'intermédiaire du site TRIP HOP.NET.
J'ai d'abord été attiré par la pochette, à la fois poétique et énigmatique ( elle a été réalisé par CLOTHIDE DUPONT).
Plus j'ai plongé dans la musique. Oui le terme est juste. Plongé... Littéralement. Ou peut être est-ce la musique qui m'a recouvert? Toujours est-il que j'ai succombé aux charmes de HKU (prononcé HAÏKU) et de son magnifique album "Soukha".
Un disque, qui en 7 morceaux, mêle downtempo, trip hop, abstract hip hop, saupoudré de couleurs jazz et classique.
Un album qui à l'image de sa pochette, nous plonge dans un univers mystérieux.
Une oeuvre cinématographique, où chaque morceau nous apparaît comme une sorte de court métrage (chaque titre possède son histoire, ses mots, inscrit dans le livret accompagnant l'album). HKU s'insinue dans notre tête pour projeter des images sur notre cerveau. Il est en quelque sorte le projectionniste de notre inconscient...
Cette musique se déroule davant nos yeux et nos oreilles, à la manière d'un film. Les éléments apparaissent au fur et à mesure.
Le synopsis de chaque titre est planté, mais chacun peut percevoir cette musique d'une différente façon...
HKU nous projette les images et nous les ordonnons dans notre tête pour en faire une histoire.
Des images en noir et blanc, avec un magnifique grain pour ma part. "L'histoire d'un homme" me dessine les images d'un homme qui regarde au travers la vitre d'un taxi new-yorkais, les bâtiments qui défilent sous son nez. Contre plongé, pluie, gros plan...
"Intense" nous accueille et fais débuter le film avec sa splendide contrebasse chaude et ses violons cristallins. Très vite la voix de BREL et sa célébre phrase "Ce qui compte dans une vie, ce n'est pas la durée d'une vie, c'est l'intensité d'une vie", les rejoint... Nous avons plongés... "J'aurais voulu" nous berce ensuite par son mélancolique downtempo et son texte magnifique.
C'est au tour du fantôme de SERGE GAINSBOURG d'apparaître sur le beat urbain de "L'histoire d'un homme" avec son changement de rythme en plein milieu du morceau, qui nous laisse croire qu'il s'agit en fait de deux morceaux...
Viens ensuite trois pièces musicales à l'orchestration délicates et riches ("Write the story", "La fourmi" et "En quete de sens: Soukha") qui ne sont pas sans rappeler AMON TOBIN ou CINEMATIC ORCHESTRA. "Esperando la proxima vez" clôt ce disque avec un superbe morceau imprégné d'un piano et d'une contrebasse mélancoliques.
Si vous plongez dans cet univers, "Soukha" vous rendra facilement "addictif"...
Le cd n'arrête pas de tourner depuis que je l'ai.
Cela à peu de choses et à beaucoup à la fois.
Une contrebasse chaleureuse, de magnifiques cordes, des beats urbains par moments, des voix habités, une orchestration lumineuse...
Un album à faire tourner et qui peut très bien être rangé dans sa discothéque personnelle, aux côtés de CINEMATIC ORCHESTRA, de "Dial M For Monkey" de BONOBO ou de "Supermodified" d' AMON TOBIN...